La seule obligation que l’homme devrait avoir est celle d’écouter son cœur. Et peut-être ainsi, parviendra-t-il à étancher à tout jamais... son éternelle et secrète soif de félicité. @endsection
Si aujourd’hui il est vrai que nous n’avons plus le pouvoir de couvrir d’un pas la distance impressionnante qui se trouve entre nous et notre terre de vérité, il est également vrai que rien au monde n’a le pouvoir de nous empêcher de faire plusieurs petits pas, l’un devant l’autre, dans cette direction.
Alors un jour où la peine était trop grande et l’impuissance omniprésente, au cœur des profondeurs de l’être s’est allumée une petite lumière. Une petite flamme qui semblait si frêle et vulnérable au sein de la nuit noire et sans étoiles de ma peine et solitude. Ayant perdu, en même temps que l’espoir, l’habitude de la lumière, il me fallut un moment pour me rendre compte que cette lumière éclairait quelque chose. Elle éclairait une porte.
Je concède qu’il serait bien présomptueux de parler d’immortalité, ni même d’y aspirer, alors que nous sommes une espèce faite de tant d’imperfections. Par contre, à ma connaissance, nul texte religieux ou législatif ne nous interdit la tentative de remédier à ces imperfections.
La vie que nous vivons est la seule que nous connaissons et par conséquent nous l’acceptons telle qu’elle est. Mais le fait que c’est la seule que nous connaissons ne prouve en aucun cas que c’est la seule qui existe.
Les brises du temps finissent toujours par dissiper les brumes du malheur. Pourquoi alors prendre tant au sérieux les assauts de dysharmonies imposées par un énigmatique fonctionnement du hasard puisqu’il est évident qu’elles n’ont pas le pouvoir (ni même peut-être la nécessité) d’être éternelles.
La peur fut un attribut puissant de l’instinct pour assurer la survie de l’animal. Pour l’homme, elle risque aujourd’hui de s’avérer être le plus dangereux des virus psychologiques s’il ne parvient pas à se guérir de ce réflexe animal.
Oh, mystérieux pouvoir, que nous avons nommé joie, nous savons si peu de toi ! Et pourtant, tu sembles être le but de tant de cœurs. Sans toi, l’illusion du temps se cristallise en heures et se mesure en secondes, l’espace infini prend forme et se compte par millimètres. L’énigmatique matière se métamorphose en objet sans vie et cassable et la peine dans nos cœurs se quantifie en larmes secrètes. Mais en vérité, ta réalité n’a ni début ni fin et tu nous fais vivre par l’extase de ton existence dans une matière qui rayonne par la source de sa propre lumière et qui se modèle autour de nos cœurs divins.
Si vous manquez de motivation et de vision, vous trouverez tout cela dans le Petit Guide, qui tend la main et vous guide avec soin, amour et humour, vous avertissant des difficultés et vous donnant les clés pour surmonter tous les obstacles. Il devient notre compagnon jusqu`au moment où nous pouvons marcher de manière autonome en nous fiant à l`aide de notre propre guide interne, récemment retrouvé.
Ce livre traite de la science du "progrès interne". Il offre une formule pour résoudre les difficultés du chemin de la vie, dont la déduction prend généralement des vies.
Ce livre est une rencontre avec un vieil ami que nous avons si longtemps ignoré que nous avons complètement oublié son existence, mais qui, en fait, a toujours été avec nous. Et c’est aussi un guide sur la façon de ne plus perdre le chemin qui mène chez lui, afin qu’il vous aide à ouvrir un monde plein de merveilles.
Un essai spirituel qui explore et propose une autre manière de vivre, ou, une humble tentative de faire d'un vieux singe évolutif un nouvel homme ensoleillé. Et pour tous ceux qui on su rester jeunes, ou, qui sont allergique aux sérieux, cet ouvrage et ponctué de conversations candides et intrigantes entre l'auteur et un enfant bien étrange et attachant. Le véritable petit guide ? A suivre… avec le cœur.
Enfant de l’aurore, que fais-tu là ?
Tu connais le chemin,
lève-toi et marche,
un nouveau monde t’attend,
au cœur de l’inconnu.
